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Urgence-la-serie.com - Jour J
1x01 " Jour J "

Transcribed by Stéphanie


Susan est en train de se reposer et Wendy vient la réveiller

Wendy: Susan, Susan, SUSAN, réveillez-vous
Susan: Pourquoi? Il est quelle heure?
Wendy : Un bébé en urgences.
Susan : Un bébé ?
Wendy : Un arrêt respiratoire vite !

L’ambulance est arrivée. Susan sort de son lit est cours à l’accueil chercher le bébé. Susan questionne tout en avançant en salle de trauma.

L’ambulancier : On l’a découvert inanimé dans son berceau. Nous n’avons pas pu trouver la veine.
Susan : Que dit l’examen d’entrée.
L’ambulancier : Pas de respiration spontanée. Elle était cyanosée, pouls filant à 200. Nous l’avons prise on a foncé.
Susan : Qu’est ce qui c’est passé.
Le coéquipier: Elle s’est arrêter de respirer.
Susan : Elle était malade ?
Le coéquipier: Non.
Susan : Elle avait un traitement quelconque ?
Le coéquipier : Non rien.

Ils sont arrivés en salle de trauma. La maman de l’enfant pleure. Le bébé est posé sur la table. Lydia le ballonne

Konny : Regarde si tu peux pas la piquer.
Susan : Chut !! (En mettant son doigt devant la bouche)
Konny : Vérifie que le cilot est bien branché.

 

 

 

Susan tourne le bébé sur le ventre et lui donne des tapes dans le dos. Les parents sont toujours en train de pleurer. Susan le retourne à nouveau et lui donne quelque tape sur le thorax.

Susan : Allez (tout en continuant de lui donner quelques tapes sur le thorax). Laryngoscope.

Lydia est toujours en train de le ballonner. Une infirmière arrive avec le plateau avec le laryngoscope.

La mère de l’enfant : Oh non !! (En mettant ses mains sur la bouche)

Susan met le laryngoscope dans la bouche de l’enfant.

Susan : Passer moi la pince de Magil.
L’infirmière : Pince.
Susan : (tout en mettant la pince dans la bouche de l’enfant) Ou est-tu ? (Elle continue à chercher et découvre quelque chose) Boucle d’oreille !! (En montrant la pince qui tener la boucle d’oreille).

Les parents on le sourire, ils sont soulagés.

Susan : Donnez-lui de l’oxygène. Glycémie ?
Konny : 20
Susan : Je veux une aiguille à Pl., calibre 18, je fais en intra-osseux.
La mère de l’enfant : Est-ce qu’elle s’en sortir.
Susan : J’ai besoin d’un glucose.
La mère de l’enfant : S’il vous plait répondez-moi. (En pleure)
Konny : Glucose branché.
Susan : Donner lui. Vous la tener (en s’adressant à une infirmière qu’on voit jamais)
L’infirmière : Oui.

Susan ausculte à nouveau l’enfant. Lydia ballonne toujours.

Le père de l’enfant : Oui ça va aller !!

Lydia ballonne et Susan ausculte toujours et d’un coup le bébé ce met à hurler.

Les parents rigole de joie. Susan et Konny sourient.

Susan : Fait lui un gaz, un thorax, une numération et une chimie standard. C’est fini vous pouvez venir (en s’adressant au parent de l’enfant)

GENERIQUE

Lydia et Carter sorte de la salle d’examen 3.

Carter : Vous aviez un arrêt respiratoire et vous m’avez pas prévenu.
Lydia : Vous avez eu 1 heure de sommeil en rabe. Estimez-vous heureux.
Carter : D’accord, Mais… (Lydia le coupe)
Lydia : Nous avions la situation bien en main. C’est maintenant qu’on a besoin de vous.
Carter : Pourquoi ? (En rentrant dans une salle d’examen)
Lydia : Pour nos amis allemand (un des patient se met à vomir) Intoxication alimentaire collective après avoir manger dans une auberge de la 46ème rue. Guten Morgen, Das ist Doktor Carter (en s’adressant aux patients)
Tous les patients: Guten Morgen, Herr Doktor.
Lydia: Ils ont besoin d’un examen de selles.
Carter : Des rectos. (En ayant un air pas très rassurant)
Konny : (Tout en se dirigeant à l’accueil) Un tu vérifie la 1, salle 2 voire si bébé va bien et en 3 j’ai un vieux bonhomme qui veux mettre la main sur ta blouse. Pour la 4, c’est une douleur au thorax, et pour finir un gamin qui fait une réaction allergique (en s’adressant à Shirley)
Shirley : Le type avec la main ou est-ce qu’il est ? (En lui arrachant les feuilles des mains.
Konny : AHHH !!
Mark: Bonjour.
Konny: Bonjour.
Shirley: Bonjour.
Mark: Salut Timmy quoi de neuf?
Timmy : Je vous passe quelqu’un (en raccrochant le téléphone) 4 blessés dont 1 grave qui arrive en hélico
Mark : Quand ça ?
Timmy : 5 – 10 minutes
Mark : Entendu. (Il se dirige vers la salle de repos croise Susan)
Susan : Bonjour.
Mark : Bonjour.
Susan : Salut Timmy.
Timmy : Docteur Lewis.

Timmy est à nouveau au téléphone. Susan regarde des documents.

Timmy : Entendu, ne quittez pas.
Susan : Qu’est ce que c’est que ça.
Timmy : On a un homme qui se plein de douleur de la poitrine en salle 4. L’équipe de nuit, lui a fait passer des radios et un électro. (Ils se dirigent vers une salle)
Susan : Tu sais Timmy ça me ferait plaisir une bonne tasse de café.
Timmy : Une gouttes de lait et sans sucre.
Susan : Oui c’est gentil (Timmy lui tend le dossier)

Susan se dirige vers son patient et aperçoit Carter dans une des salles. Elle frappe à la vitre.

Susan : Tu viens m’aider en salle 4
Carter : J’arrive (Il ôte ses gants). Ne bouger pas (sort de la salle)
Susan : Bonjour Mr Zambano. Je suis le Docteur Lewis et voici le Docteur John Carter. On commence par le bilan des douleurs et ensuite un électro.

Carter attend un petit instant.

Susan : Alors allez-y.
Carter : Oh oui, provoquant palliatif c’est ça. Dite moi quand ça a commencer.
Mr Zambano : J’étais dans la douche et j’ai senti une douleur.
Carter : Cette douleur vous pouvez me la décrire ?
Mr Zambano : J’avais l’impression d’avoir un poids sur la poitrine.
Carter : Bien. Bon euh (en levant les yeux en regardant Susan)
Susan : Irradiation (en hochant de la tête)
Carter : Ah oui !! (Fermant les yeux), Vous avez senti la douleur au cou, au bras.
Mr Zambano : Il est quoi lui (en regardant Susan) il est débutant.
Susan : Ici, c’est un hôpital universitaire Mr Zambano. (Elle l’ausculte)

Mr Zambano regarde Carter

Susan : L’électrocardiogramme est normal, la douleur a disparu et vous n’avez aucun antécédent. Il n’y a donc pas de raison de s’inquiéter. Le Docteur Carter va s’occuper de vous en attendant les résultats de vos enzymes. D’accord ?
Carter : D’accord !

Susan sort de la salle 4. Mr Zambano la regarde partir et Carter le regarde avec un sourire narquois et lui fait le signe de OK !

Mark, Doug et Susan monte les escaliers pour aller chercher les blesses qui arrivent avec l’hélicoptère.

Susan : Ca va faire 8 semaine (en s’adressant à Doug)
Mark : Quoi, ça veut dire que n’ai même pas aller là-bas.
Doug : J’y ai beaucoup réfléchi et c’est tout.
Susan : Toi et Hathaway étiez si proches.

Mark ouvre la porte qui donne sur le toit de l’hôpital.

Mark : Surtout ne croit pas que le temps arrangera les choses.
Susan : Lances-toi.

L’Hélicoptère arrive. Susan mets les lunettes de protection.

Mark : Allons-y

Mark et 3 infirmiers court avec un brancard ver l’hélicoptère.

Secouriste : Elle c’est la mère. Un type à grillé un feu rouge à 80 km/h leur voiture est foutue. Blessures à la tête, à la poitrine et la hanche droite. On lui a transfusé trois litres dans l’hélico.
Infirmière : Glascow ?
Secouriste : 1 - 1 – 1, Pouls 120 et sa tension 5 / 3
Mark : Entendu, on fonce. On se dépêche.

Mark part en salle de trauma.

Doug et Susan arrivent avec le second brancard.

Doug : On se dépêche. Ca donne quoi ?
Secouriste : Plaie cou et douleurs abdominal, sa tension et a 6 / 5, son pouls à 150m filant. Glascow 4- 6 -5. Elle a aussi un scalp et une déformation de l’humérus droit.
Doug : Aller on la descend toute de suite en salle d’urgence. Merci.

Mark arrive aux urgences avec la mère qui est blessée.

Mark : Dite à Doug d’aller en salle 1 avec la petite

Mark se dirige en salle 2 de trauma. Doug arrive en salle 1 de trauma.

Petite fille blessée : Maman !!!

En trauma 2

Benton : Allons-y, si vous êtes prêts on y va à 3 et 1 – 2 -3
Petite fille blessée : Maman !!
Benton : Préparez-moi le groupe Rhésus et 6 unités de sang. NFS, chimie, Iono. Faites descendre du O négatif.
Petite fille blessée : Maman !!! MAMAN !!!
Benton : J’ai besoin du chariot d’intubation. Dépêchons s’il vous plait. On est pas à la promenade du dimanche. Est-ce qu’il y un autre médecin dans les parages.
Infirmière : Tout le monde est occupé.
Benton : Bon, prévenez la salle d’op et voyez qui est libre.

 

 

 

 

 

En trauma 1

Petite fille blessée : MAMAN !!!
Mark : Groupe Rhésus, 4 culots, s’il vous plait.
Doug : Positif.
Lydia : Elle tient encore à 5, pouls à 180.
Doug : Ecoute ma puce, tu vas me dire ou tu as mal. D’accord ? IL faut que tu te concentres très fort. C’est très bien. Tu as compris ?

Petite fille blessée : MAMAN !!!
Doug : Tu m’entends, dis-moi ou tu as mal. Ici (elle fait non de la tête) et ici
Petite fille blessée : AOOUUUHHH !!!!
Doug : La rate.
Mark : Il faut la conduire en chirurgie est illico.
Doug : Reste tranquille.
Petite fille blessé : MAMAN !!!

Dans une salle d’examen. Susan examine le chauffard qui est rentré dans la voiture de la fille et de sa mère. Le policier lui met les menottes en les accrochant au lit

Susan : C’est lui le chauffard (elle lui examine ses pupilles)
Policier : Ouais, il va s’en tirer ?
Susan : Oui, j’ai besoin de l’alcoolémie (elle s’adresse à Malik).
Policier : IL doit en être à plus de 2 grammes.
Susan : 3,5 grammes facilement. On va faire les toxiques et un scan cérébral. Nous devons vérifier si il y traumatisme crânien.

Le policier prend des notes. Susan vérifie ses réflexes.

Susan : Vous connaissez ce genre de rapports ?
Policier : Ne vous inquiétez pas.

 

 

 

Susan sort de la salle d’examen et se dirige vers Mr Ring.

Susan : Mr Ring, nous avons prévenu l’orthopédiste il s’occuperons de votre jambe dans une minute.
Mr Ring : Et ma femme et ma fille comment vont-elles ?
Susan : Mes collègues sont de s’occuper d’elles (elle contrôle la plaie qu’il a au front).
Mr Ring : Je l’ai même pas vu arriver. Le feu est passé au vert, ma femme à crier et il été trop tard.
Susan : Votre famille est en de bonnes mains.

Dans la salle 4, Carter et Wendy s’occupent de faire les rectos.

Carter : Combien il en reste encore ?
Wendy : 3.
Carter : 3 (en haussant des sourcils). Bon je vais voire un autre patient, je reviens.

Carter retire ses gants et quitte la salle 4 et se dirige vers la chambre de Mr Zambano.

Carter : Comment vous vous sentez ?
Mr Zambano : Je vais attendre combien de temps ?
Carter : 1 ou 2 petites minutes, on est surchargé aujourd’hui. Sinon ça va comme vous voulez ? (Il consulte le dossier du patient) (Pas de réponse) Mr Zambano ? (Pas de réponse, il le secoue et il est en arrêt) Mr Zambano ? (Il regarde l’écran du cœur, pas de rythme) Oh non, Mr Zambano ? (Il le secoue)

Carter cours dehors de la salle pour appelez de l’aide. Tout le monde cours

Carter : Eh ! Eh ! EH ! Est-ce que quelqu’un peut venir

Beaucoup d’agitation dans le service tout le monde part au même endroit mais pas ou est Carter. Il prend un chariot de réanimation qui se trouve dans le couloir, mais du produit sur les palettes, et cours jusqu’à la chambre du patient. Déshabille le patient et choque le patient que revient de suite à lui.

Mr Zambano : Eh ! Non de Dieu qu’est ce que vous me faîtes.

Malik arrive dans la salle.

Malik : Vous avez besoin d’aide ?
L’infirmière : Je suis là. Les constantes sont stables. Ne vous inquiétez pas Monsieur tout vas bien

Carter sourit.

En trauma 1

Lydia : Tension 8 / 5 pouls 120
Mark : On sait s’il sont prêt au bloque ? Très bien on y va. Dite à l’orto qu’on est monté.
Doug : Nous t’emmenons dans une autre partie de l’hôpital. Ils vont te soigner ma puce.
Petite fille blessée : Ou elle est maman ?
Doug : On la soigne aussi et ton papa sera là quand tu vas te réveiller
Mark : Tient prend ta fiche (il monte la fille au bloc)
Doug : Merci

Dans le couloir Mark croise Susan.

Susan : Est-ce qu’elle va s’en sortir ?
Mark : Rupture de rate. Le père ça donne quoi ?
Susan : Les orthopédistes sont avec lui en salle 3. Le chauffard dort comme un bébé, il n’a pas une égratignure

Mark enlève ses gants et voit Benton arriver et va vers lui.

Mark : Alors la mère ?
Benton : Peut-être ?

 

 

 

 

Dans la ville en train de prendre leur pause, Doug et Mark discute.

Mark : Ca fait 2 mois qu’elle a tenté de se suicider. Vous étiez très proche l’un de l’autre. Ca devait représentait quelque chose pour toi.

Doug : J’y suis passé à 2 reprises et je suis resté dans ma voiture.

Mark : Apporte lui un bouquet de fleures, personne te dit de s’éterniser.

Doug à l’air très pensif à cette idée.

Mark : Tu veux que je t’accompagne. Dimanche je suis de repos on pourrai en profiter pour… (Doug le coupe)
Doug : Non, j’en sais rien
Mark : Je conduirai.

Un des deux bip sonne, les deux regarde. Doug le prend dans la main.

Doug : C’est le mien ! A plus tard.

Doug s’en va gentiment.

Mark : T’es pas responsable Doug. Faudra bien que tu t’en rendes compte tôt ou tard.

Doug le regarde d’un air soucieux, et il s’en va.

En salle de trauma. Mr Gregor est blessé au bras par une balle. Benton lui coupe le pansement.

Mr Gregor : Aie !! Pan, Pan, il a tiré sur moi comme ça, pour des cigarettes.
Benton : Donne lui 1 gramme de Céphalozoïde.
Mr Gregor : Il avait l’age de mon petit fils dans les 12 ans pas plus. Le revolver était riquiqui.
Benton : NFS, Thorax et épaule face profil.
Mr Gregor : Un petit calibre, je vous dit ça va faire 15 ans que je vends de l’alcool dans ma boutique, 7 cambriolages. Jamais touché. Rien, il a fallu que ce soit un gamin qui me touche avec un pistolet de rien du tout.

Malik arrive en salle de trauma 1

Malik : Dr Benton, on vous attend en salle 2, un problème abdominal, et aux admissions pour une blessure au couteau.
Benton : Mr Gregor vous avez de la chance la balle est directement ressortie. Je vais vous envoyer en salle d’op, pour examiner votre bras, ils vont vous vérifier, qu’il n’y a pas d’organes vitaux touchés ou s’il reste des éclats. Prépare le patient de la 2 trouve sont dossier médical il part pour le réveillon, je le veux dans 10 minutes.
Benton quitte la salle de trauma mais Carter l’arrête.
Carter : 10 minutes !!!!
Benton : Dernier cas.
Mr Gregor : Eh ! Docteur vous buvez du cognac, si voulait, j’en ai en réserve, Un bijoux dans un champ
Benton ; Ce n’est pas nécessaire (en souriant)
Mr Gregor: Cigare alors! Cuba authentique
Benton: Non, non merci, ce n’est pas la peine. Je ne fume pas. Docteur Carter il te reste 9 minutes

Benton quitte enfin la salle de trauma

Mr Gregor : Bon docteur
Carter : C’est le meilleur.

Dans une salle d’examen Wendy et Susan parlent avec le patient

Susan : Il a une petite fièvre, une toux productive, hypotension orthostatique et il est déshydraté

Wendy lui prend la tension.

Patient : Il faut que je rentre à l maison,
Susan : Je sais. Vous mous avez donné votre prénom mais est ce que vous connaissez votre de nom de famille
Patient : Je dois rentrer chez moi.
Susan : Victor, rester tranquille, pourquoi ne pas vous allonger gentiment ? Malik, nous aurons peut-être besoin de sangle
Patient : Il faut que je donne à manger à mes chiens
Susan : Donnez- lui du sérum glucose et 300 CC et qu’on lui fasse un scan cérébral sans injection et programme lui une consultation avec un psychiatre et fais luis un BVP
Wendy : C’est quoi un BVP ?
Malik : Bilan des petits vieux : NFS, chimie standard, thorax de face, ECDU et deux hémocultures.

Malik et Wendy attache le patient.

Plus loin Carter est en train de réviser et Benton sort de la salle d’examen numéro 3 à coté ou est Carter.

Benton : Vas-y accouche. Donne-moi le résultat.
Carter : Homme de 65 ans, avec une arthrite sévère déclarée par une claudication du mollet gauche. Il est au 10ème jours post-opératoire d’une prothèse aorto-bifémorale fait à l’hôpital la Pitié. Suite post-opératoire jusqu'à ce matin ou il a ressenti une douleur progressive au niveau de la fosse iliaques gauche. Apparemment il ne semble pas y avoir de facteurs déclenchants. Si c’est n’es un dîner mexicain épicé. (En souriant).
Shirley est derrière et suit

Benton : Des médicaments ?
Carter : Euh !! Oui 30 CC de Magnox pour la constipation.

Benton : Prénom de son ex belle-mère ?
Carter cherche dans ses feuilles
Shirley : C’était une blague.

Carter rejoint Benton et Shirley.

Benton : Bonjour Monsieur Thunherst, je suis le Dr Benton. (En lui touchant la main). Vous avez des douleurs abdominales ?
Mr Thunherts : J’ai appeler mon Dr il devrai pas tarder à arriver. C’est Joe Arndt vous le connaissez
Benton : Non pas du tout (tout en lui palpant le ventre) Vous sentez quelque chose ? D’accord ! Pas de rebond, ni de défense. Les jambes sont chaudes. Pouls capillaire normal.
Mr Thunherts : Ma jambe n’as rien, c’est mon estomac qui est douloureux.
Benton : Dr Carter que ferais-tu ?
Carter : Eh, bien contenu des antécédents de constipation du malade et la nature de la douleur, je demanderai NFS, chimie standard ECBU et NSP.
Benton : Et, si tout est normal ?
Carter : Je le fais sortir et lui recommande son médecin personnel
Benton : Oui, félicitation. Tu viens de coûter 2 millions à l’hôpital en frais juridique pour erreur médicale.

Carter perd son sourire.

Benton : Il se pourrait que vous ayez ne thrombose de la prothèse avec un risque d’extension aux artères rénal et mésentérique.
Mr Thunherts : Qu’est-ce que c’est une thrombose ?
Carter : Erreur médicale. !!!
Benton : Mr Thunherts, on vous a remplacé la jambe et parfois après ce type d’intervention il se forme un caillot qui obstrue la circulation. C’est que nous allons vérifier. Fais lui une artériographie.
Mr Thunherts : Je voudrai mieux attendre mon médecin.
Benton : Non ce ne sera pas prudent. Prévenez la radiologie et emmenez-le là-bas sur le chant.

Benton qui la salle.

Carter : (énervé) Une thrombose !!
Shirley : Ahhhh !!! Et quitte la salle.

Dans la salle de consultation avec le chauffard qui est rentré dans une voiture.

Malik : La mère est toujours au bloc. On a les résultat d’alcoolémie : 4 grammes 35
Policier : Et quoi pour les toxiques
Malik : Il est négatif. Comme on dit y’a pas de justice.
Policier : C’est le malheureux

Malik quitte la salle.

 

Dans une autre salle, Susan, Wendy et le Dr Cvetic avec la patient sans nom de famille.

Susan : Il est déshydraté, il y a une discrète infection des voies aérienne supérieures. La réhydratation l’a aidé mais il est toujours confus et agité.
Patient : Docteur, à la maison j’ai deux chiens.
Dr Cvetic : Deux chiens ? C’est très bien. T’as fait un scan ?
Susan : Atrophie diffuse mais rien de localiser

Le bip de Cvetic sonne.

Dr Cvetic : Je suis tient.

Susan le suis dans le couloir.

Susan : C’est tout ?
Dr Cvetic : Pourquoi c’est pas suffisant ?
Susan : J’espérai qu’on admette en psychiatrie et qu’on lui donne un lit.
Dr Cvetic : Il y jute une infection.
Susan : Il est sénile et il lui faut un soutien psychologique.
Dr Cvetic : Ah parce que tu t’es converti dans la psychanalyse maintenant.
Susan : JE sais reconnaître un cas de démence sénile.
Dr Cvetic : En terme médicaux, il n’est pas destiné à mon service. Il souffre d’une infection des voies respiratoires et il est déshydraté. Il lui faut des antibiotiques et une réhydratation par voies veineuse.
Susan : Je m’occupe de lui pour les antibiotiques et la perfusion.

Le bip du Dr Cvetic sonne à nouveau.

Dr Cvetic : On lui donne 2.5 d’Haldol et dit au service social qu’il assure son suivi. Je n’est pas de lit disponible pour lui.
Susan : On peut pas le laisser tomber
Dr Cvetic : Tu me demande de renvoyer un des mes psychopathes de mon service pour libérer un lit pour ton patient. Débrouille toi pour qu’on l’admette en Médecine ou alors fait lui un bon de sortie. Moi je peux pas. Cette discussion s’arrête ici. (il part)

Un peu plus loin, Mark et Malik sont avec un patient rouge comme une écrevisse.

Mark : Vous vous ‘êtes endormi ?
Patient : Oui sur la plage.
Mark : Et vous vous êtes endormi en plein soleil ?
Patient : Oui
Mark : Vous voulez-vous asseoir ?
Patient : Je crains que ce soit impossible.

Jeanne la femme de Mark et derrière elle s’impatiente.

Malik : Il pourrai se mettre en appui contre le brancard
Jeanne : Mark !!

Il se retourne et aperçoit sa femme.

Jeanne : Je suis reçue
Malik : Au barreau ?
Jeanne : Oui !!

Tout le monde applaudi et Jeanne saute dans les bras de Mark.

Mark : Je suis vachement fier de toi.
Patient : Félicitation, mais ce serai bien de peut-être pas m’oublier.
Mark : Ah !!! Malik faite lui des analyses
Mark : Tout de suite Docteur.
Mark : Merci Malik. On y va.

Ils s’en vont dans une salle.

Jeanne : Chut!!!

Ils rigolent tous les deux.

Jeanne : Alors
Mark : Félicitations chéri et il l’embrasse

 

Jeanne comment à déshabiller Mark.

Mark : Qu’est ce que tu fabriques
Jeanne : Rappelle toi de la banquette arrière.

Elle lui enlève sont stéthoscope et ses lunette.
Jeanne : Rappelle toi notre voyage à Hawaï
Mark : Jenifer tu devrai passer des examens plus souvent.

Mark à la main tout près pour alerter en cas d’urgences

A l’accueil Benton arrive.

Benton : Timmy, ou est le conducteur de la voiture ?

Timmy montre un homme tout près. Benton s’approche de Mr Ring.

Benton : Bonjour Monsieur Ring. Je suis le Dr Benton.
Mr Ring : Est-ce que ma fille est toujours au bloc.
Benton : Oui, mais il n’y pas de quoi s’inquiéter du tout. Tout se passe bien. Votre fille a subi une opération de la rate. Je suis venu vous parler de votre femme. Elle a une fracture de la colonne vertébrale et une hémorragie interne importante en terme médicaux elle a une CIVD ce qui veut dire qu’elle ne coagule pas. C’est le résultat de ses traumatismes. Votre femme est en train de mourir. Mr Ring ….. Aviez-vous abordé avec elle la question des dons d’organes ?

Mr Ring se met à pleurer. Benton se sent mal à l’aise et le réconforte.

Dans les couloirs Susan, discute avec un médecin concernant le patron sans nom de famille.

Susan : Il faut qu’il soit hospitalisé
Dr : Sur quels critères ?
Susan : Etat mental instable.
Dr : Il est sénile, ça à rien à voir. Donnez-lui des antibiotiques et il peut sortir.
Susan : Il est tout seul, pas de famille. Personne pour s’assurer qu’il prenne ses médicaments, pour lui faire les courses ou même lui faire à manger.
Dr : C’est le service social qui règle se genre de chose.
Susan : Ils nous ont dit qu’il était débordé.
Dr : Et en psychiatrie ?
Susan : Cvetic dit qu’il n’a plus de lit.
Dr : Il ne reste plus qu’a l’inscrire en consultation journalière. Nous n’avons plus de place ici. Si Cvetic n’en veut pas, signer lui un bon de sortie. Merci Timmy (en lui donnant un dossier et il part).

Le bip d’urgence sonne. Timmy se retourne et Shirley se lève

Timmy : C’est le signal d’urgences
Shirley : Ok, Malik attrape ce chariot de réa. Susan vous pouvez venir.
Il s’avance tous vers la salle en question et découvre Mark tout nu et sa femme.

Timmy : Salut.
Mark : Salut. (Gêné)
Jeanne : Je ne trouve plus ma boucle d’oreille. Euh Salut.

Il referme la porte et s’en vont et se mettent à rigoler.

Plus tard, Doug et Mark sont aux toilettes et discuter.

Doug : (en rigolant) Ta main était sur le bouton des urgences pendant tout le temps t’était occuper. Mark, je suis jamais là quand il faut décidément.
Mark : Je m’en remettrai jamais de ce coup-là
Doug : C’est grandiose. Ici tout le monde pensait que tu était un saint. Je vais même t’appeler Mahatma.
Mark : Qu’est ce qui va se passer si Wertz l’apprend ?
Doug : Tu le faisais avec ta femme encore heureux. Enfin.
Mark : Chef des internes, j’ai le devoir de montrer le bon exemple.
Doug : L’hôpital est immense peut-être que Wertz ne le saura pas.
Un Docteur : Eh Mark. (Qui vient de rentrer dans les toilettes) Ca va aux urgences ? (En rigolant)
Mark : Je suis un homme mort.

 

Doug aperçoit des pieds au dessous de la porte des toilettes, il regarde.

Doug : Carter

Il l’entant ronfler.

Mark : La pause pipi est terminé, on dégage (en tapant très fort sur la porte)

Carter se réveille Mark et Doug rigolent encore plus. Et la tête de Carter émerge au dessus de porte des W.C.

A l’accueil, Timmy est avec une patiente.

Patiente : J’ai des rougeurs aux fesses.
Timmy : Mmh !!
Patiente : Je dois être soignée
Timmy : D’accord

Carter arrive est la patiente l’aperçoit.

Patiente : Vous êtes Docteur ?
Carter : Moi ? (En regardant autour de lui)

Elle acquiesce.

Timmy : Elle a des rougeurs aux fesses
Carter : Ah !!
Patiente : Vous pourriez m’ausculter ?
Carter : Oui on va regarder.

Plus loin Doug et Mark ausculte une patiente.

Doug : La patiente à 7/5 de tension est à 120, respiration 32.

 

 

 

Mark prend sont stéthoscope et écoute.

Doug : Température 39.8, saturation 85%.
Mark : C’est votre femme, Monsieur ?
Mr Franks : Oui.
Doug : Mr Franks, voici le Docteur Greene
Mark : Bonjour (en serrant la main de Mr Franks. Est-ce que votre femme suivait un traitement ?¨
Mr Franks : Euh, ça faisait des semaines que je lui disait de consulter un Docteur. Elle voulait rien savoir. (Il tend à Doug toutes les boîtes de médicaments.)
Doug : Lasilix, digitaline. Potassium, Nobitrate, Trinitrine, Captopril, Doliprane, Inoptol.
Mark : Nous voulons un thorax, un électro, une NFS, chimie hydraulique, CBU, gaz du sang. Fais aussi deux hémocultures et pour le reste vous réhydrater avec 300 CC de sérum physiologique.
Mr Franks : Vous allez la remettre sur pied ?
Mark : Nous devrons peut-être faire des choix difficiles dans les heures qui vont suivre. Nous sommes confronté à une importante incapacité respiratoire.
Mr Franks : S’il vous plait faites tous ce que vous pouvez.
Mark : on va d’abord attendre les résultats des gaz et nous commencerons les soins en fonction de ça.
Mr. Franks : Oui d’accord.
Mark s’en va.

Carter en salle avec la fille des rougeurs aux fesses.

Patiente : Vous êtes en 3ème année d’externat.
Carter : Mmh !!
Patiente : ça doit être dur.
Carter : Disons que c’est très prenant.
Patiente : Ca doit être très dur (en soupirant)

 

 

 

Susan rentre dans la salle.

Susan : Vous vous en sortez Dr Carter ?
Carter : Euh ! Dr Lewis, c’est un urticaire pas très joli à voir à vrai dire. J’ai fait un stage en dermatologie l’automne dernier. Je connais le sujet.
Susan : Vous permettez que je reste pour observer votre technique ?
Patiente : Il s’en sort très bien tout seul.
Susan : Je n’en doute pas une seconde.
Carter ; Allez-y rester, une dose de Médral et un antihistamique feront l’affaire (il regarde) Oui !!!

Plus loin Mr Franks avec sa femme, il lui parle en lui tenant la main.

Mr Franks : Tu te rappelle l’été dernier, Jerry c’est cassé le bras au camping, près du lac. Tu étais si inquiète. Je t’avais dit qu’un petit garçon ce n’était pas facile. Et toi tu voulais le pouponner c’est vraiment pas épatant qu’il s’en sorte aussi bien dans la vie. Epatant.

Mark arrive.

Mark : Mr Franks ? (Il s’asseoit près de lui). Je ne suis pas satisfait du résultat des analyses que l’on a pratiqué sur elle. Quelle âge a votre femme ?
Mr Franks : 86 ans.
Mark : Nous n’avons pas tellement le choix. Elle est en stade terminale. Si nous la mettons sur respirateur artificiel nous ne pourrons plus jamais la débranchée. Nous pouvons prolonger ces jours, mais elle sera à un été végétatif ou alors nous pouvons adoucir. En l’hydratant et avec des antibiotiques et la nature suivra son cours.
Mr Franks : Elle mourra, c’est ce que ça veut dire ?
Mark : Elle mourra en paix, oui.
Mr Franks : Branchez lui un respirateur
Mark : Vous êtes sûre que c’est ce qu’elle voudrai Mr Franks ?

 

Il hoche de la tête.

Mark : On va encore attendre on va voir les prochains gaz du sang. Heureusement il y aura un mieux avec un traitement au nébulisateur.

Doug et Mark s’en vont. Mr Franks se retourne.

Mr Franks : Elle a 13 arrière-petits-enfants vous savez ça ?

Doug et Mark se retourne.

Doug : Non, je l’ignorais. Mr Franks.
Mr Franks : Je voulais que vous le sachiez, c’est tout.

Doug s’en va.

Konny entre dans la chambre du chauffeur ivre.

Konny : Il se réveille
Patient : Quelle heure est-il ?
Konny : Il est 7h30
Patient : Oh la vache, je devais en tenir un sacré cette fois-ci.
Konny : Je vais chercher un médecin.
Patient : Merci.

Konny sort et le patient découvre qu’il est menotté au lit. Malik le surveille.

Patient : Oh c’est pas vrai. Je me suis fais encore arrêter.
Malik : Vous ne vous rappelez pas ?
Patient : C’est une question à combien ?

Malik le regarde très méchamment.

Patient : Quoi ?? Pourquoi vous me regarder comme ça.
Malik : Le policier est partit se prendre un café. Il n’en a pas pour longtemps.
Patient : Bon sang, j’ai dû drôlement merder sur se coup là, non (il rigole)
Malik : C’était un accident mortel. Une mère de famille est morte et sa fille petite fille au bloc.

Dans la salle avec Mr Thunherts.

Joe Arndt : Vous avez prescrit une angiographie ?`
Benton : Oui, on n’a pas encore pu l’emmener, ils sont débordés en radiologie.
Joe Arndt : C’est toujours ça qu’on aura évité.
Benton : Parce que vous écarté tous risques de thrombose.
Joe Arndt : Ses analyses d’urines sont revenues positive. Je pense que sa douleur abdominale est due à une infection urinaire. On lui a poser une sonde durant sont opération.
Mr Thunherts : J’espère que c’est pas trop grave Joe ?
Joe Arndt : Non, je vais te faire une ordonnance et tu saura rentrer pour le dîner.
Mr Thunherts : C’est marrant lui aussi m’as dit la même chose.
Benton : Euh, Excusez moi Docteur. Vous pouvez venir une seconde ? Je crois que vous devriez reconsidérer la question.
Joe Arndt : Vous êtes interne de 3ème année
Benton : 2ème interne en chirurgie.
Joe Arndt : Ah !! Et bien la prochaine fois que vous voulez imposer un de vos traitement de luxe hyper agressifs faites le sur un patient nécessiteux. Ils ignorent que c’est pour épater l’un de vos étudiant, en médecine. (A Mr Thunherts) Je te fais sortir immédiatement.
Mr Thunherts : Oh c’est formidable Joe! Comment te remercier

Plus loin, Susan soigné une jeune mariée

Mari Patiente : Ca a commencer pendant la réception. Elle c’est mise à vomir tout ce qu’elle a mangé
Patiente : Oh chérie, je suis désolée (elle vomi)
Susan : Primperan 10 mg en sous-cutané, NFS, chimie standard. Qu’est ce qu’elle a manger.
Mari Patiente : Je crois qu’elle a rien avaler avant la réception. N’est ce pas chéri. Tout le monde à manger la même chose, chez Gerber.
Wendy : Vous avez organisé la réception chez Gerber, dans la 46ème rue ?
Mari Patiente : Oui !!
Wendy : C’est là-bas ou les touristes allemands de ce matin on mangé aussi.
Susan : Combien aviez-vous environ d’invités.
Mari Patiente : Environ 200.
Wendy : On va avoir besoin de bassine.

Plus loin.

Shirley : C’est l’impression qu’elle commence à revenir.
Mark : Est-ce que c’est bon les gazes du sang ?
Shirley : PCO-2 à 70. Elle se fatigue.

Mark ausculte Mme Franks. Elle est très agitée.

Mr Franks : On dirait qu’elle va mieux
Mark : Votre femme était déshydratée Mr Franks, c’est parce qu’on lui a fait un remplissage qu’elle s’est réveillée. Mais son problème respiratoire va en s’empirant.
Mme Franks : Je suis tellement fatiguée.
Mark : Je sais Madame. Est-ce que vous avez mal ?
Mme Franks : Je meurs n’est ce pas Docteur ?
Mr Franks: Non, tu vas aller mieux en mieux.
Mark : Mme Franks, dans très peu de temps vous n’arriverez plus à respirer toute seule, ça doit être une question de minutes. Voulez-vous qu’on vous branche sur une machine qui aidera à respirer ?
Mr Franks : Oui, c’est ce qu’elle veut.
Mark : C’est à votre femme que je m’adresse, Mr Franks.
Mme Franks : Combien de temps ?
Mark : Je n’en sais rien
Mr Franks : Nous en avons déjà discuter Docteur
Mme Franks : Non, Non !!!

Mr Franks se met à pleurer

Mr Franks : Je ne veux pas te perdre.
Mme Franks : Oh, je sais..

Mr Frank pleure dans les bras de sa femme.

Mme Franks : Ne t’inquiète pas mon chéri

Plus tard. Carter sort d’une salle avec des bassins, tout le monde vomi. Il tend les bassins au patient.

A l’accueil.

Jerry : Environ 200 ?
Timmy : Oui, mais il n’ont pas tous manger de la salade de pomme de terre. Il n’y en a que 60 seulement d’intoxiquer
Wendy : Oh dieu merci te voilà Konny. Je n’ai jamais été aussi content de voir quelqu’un de toute mon existence. Salut et amusez vous bien. (Elle part)
Carter : Restez Mme comme ça, on s’occupe de vous tout de suite.

Carter se dirige vers le Dr Greene.

Carter : Dr Grenne ?
Mark : Tout le monde à sa dose de Primperan. Donnez-leur du sérum phy en perf, si vous voyez que c’est nécessaire. D’accord ?
Carter : D’accord.

Mark est au téléphone,

Mark : Oui, je patiente.
Jerry : Qu’est c’est que ça
Timmy : De l’accordéon, ils sont venus continuer leurs petites sauteries dans la salle d’attente. Salut Aaahh ! (Et il part)

Susan discute avec un patient près de la réception. Lydia arrive

Lydia : Dr Lewis.
Susan : Oui !
Lydia : Venez voir.
Susan : J’arrive. Vous voulez bien m’excuser, je reviens.

Lydia l’emmène près de l’entrée.

Lydia : La police l’a trouvé errant tout nu en plein milieu de la rue. Il avait encore son bracelet d’identification de l’hôpital.
Susan : Bonsoir Victor.
Victor : Bonsoir. Mes chiens, je suis obliger à leur donné à manger vous savez.
Susan : Oui, je suis au courant.
Lydia : Je vais demander à Cvetic de venir ici.
Susan : Non, je veux que tu l’emmènes en psychiatrie et qu’on l’hospitalise sur le champ.
Lydia : Et je fais quoi s’il n’en veut pas ?
Susan : Dans ce cas c’est moi qui signerai son admission. (En s’énervant)

Lydia prend le patient et s’en va.

A la cafeteria Susan et Mark discutent.

Mark : Ca va ? Tu tiens le coup ?
Susan : Il faut bien. Il ne me reste plus que 3 heures à tirer. Tu es de garde ce soir ?
Mark : Non. Benton.
Susan : Tu sais tu devrai parler à Doug pour Hathaway ça fait plus de 2 mois.
Mark : Oh j’ai essayé. Je lui ai même proposé de le conduire chez elle.
Susan : Pourquoi, est-ce qu’il réagit comme ça. Leur histoire duré 2 ans.
Mark : Il croit que c’est de sa faute, que sans lui rien ne serai produit.
Susan : Je crois savoir que c’est le grand bonheur toi et Jenifer hein ? (Elle se met à rigoler)
Mark : C’est parce qu’elle a réussi son examen, alors elle était excitée.
Susan : Oui, toi aussi si j’en crois ce que j’ai vu
Mark : Aaaahhh !!
Susan : Qu’est ce qu’elle va faire maintenant ? Trouver un job ?
Mark : Elle cherche

Cvetic arrive très énervé.

Cvetic : Lewis pour qui tu te prends, Nom de Dieu. Tu fais hospitalisé des malades dans mon service sans me consulté.
Susan : Il lui faut un soutien psychiatrique.
Cvetic : Ce n’est pas mon avis.
Susan : La police l’a retrouvé errant tout nu, dans la rue.
Cvetic : Il est sénile, pas psychotique.
Susan : Il a besoins de soins permanents.
Cvetic : Qu’il aille dans ton service mais pas dans le mien.
Susan : J’ai essayé mais Wertz m’a envoyée promener.
Cvetic : Ne me refait plus jamais ça.

Cvetic s’en va.

Plus loin. Benton est en train de monter les escaliers et Carter l’interpelle.

Carter : Dr Benton. ? Je suis désolé pour ce qui c’est passé avec ce patient de la thrombose. Je pense que vous aviez raison.
Benton : Sans blague. ?
Carter : Si, si, il aurait du avoir son angiographie.
Benton : Génial. J’écrirai un mot au Journal Médical officiel pour leur dire que tu étais d’accord.

Et Benton s’en va

Dans la salle d’attente les personnes du mariage continue leur fête.
Tout le monde danse et son tous joyeux. Même Jerry et Lydia. Mark aussi
Konny arrive elle vient chercher Mark.

Konny : Mark, Doug m’envoie vous chercher.
Mark Y’a un problème.
Konny : Mme Franks est décédée.

Mark s’en va rejoindre Mr Franks.

Mr Franks : Tu es l’amour que j’attendait tant. La mariée que la vie m’a… destiné (et il pleure) et chaque fois que tes lèvres m’embrasse. Chéri tout t’aimé la vie et passe les chagrins et s’efface un soupir en un merveilleux soupir. Tout n’est que rêve à jamais. (Et se remet à pleurer)
Mr Franks s’en va.

 

 

 

Plus tard dans la journée. Mark devant sa maison dans le jardin. Jenifer arrive avec une tasse de café.

Mark : Elle s’est endormie.
Jenifer : Enfin.
Mark : Cher Maître, je suis fier de vous.
Jenifer : Si on m’avait dit que je réussirais…. (Elle m’embrasse Mark)
Mark : Moi j’en été sûre
Jenifer : Tu me manques.
Mark : Toi aussi tu me manques.
Jenifer : On devrait faire l’amour plus souvent. (Elle part d’un fou rire) Si t’avait vu la tête que tu faisais.
Mark : C’est normal. C’était plutôt embarrassant. Non ?
Jenifer : On pourrait reprendre notre petite séance.
Mark : Rachel pourrait se réveiller.
Jenifer : On a qu’à rester ici.
Mark : Dans le jardin ? Oui, mais Mme Navrocki pourrait nous voir.
Jenifer : On s’en fiche.
Mark : il faut que je retourne à l’Hôpital dans deux heures. Je suis désolé.
Jenifer : Tu t’en iras jamais n’est ce pas ? De l’hôpital.
Mark : J’en sais rien du tout.
Jenifer : Mark j’ai besoin de toi.
Mark : Tu sais que je t’aime. (Il l’a sert fort dans ses bras.)

Dans le parking de l’hôpital. Carter arrive pour prendre sa voiture. Il sort les clefs de sa poche et ouvre la porte de sa voiture. Il rentre dans la voiture et au moment ou il retourne sa tête, il découvre la patient qui avait des rougeurs aux fesses et il sursautes.

Patiente : Salut.
Carter : Salut, comment vous êtes….
Patiente : En route
Carter : Pour aller ou ?
Patiente : Chez vous.
Carter : Euh, j’habite chez mes parents.
Patiente : Chez moi alors.
Carter : D’accord.

Il enclenche le moteur de la voiture et s’en va

Susan dans son appartement.

Susan : C’est vrai quoi, on est là pourquoi si on ne peut rien faire pour un vieux bonhomme qui a perdu la tête et qui se promène tout nu dans les rues. Parfois, y’a des trucs qui frustrent à un telle point je ne sais pas ce que je ferai dans ces cas là. Ca me donne envie de hurler.
Cvetic. Tu sais. Personne ne peut prendre en charge toute la misère du monde
Susan : C’est exactement ce que Wertz m’as dit.
Cvetic : Il a très bien fait. Tu veux un petit conseil, à ta place j’éviterai de me mettre à dos le chef de service sinon tu risques d’avoir de gros problèmes.
Susan : J’ai pas envie de faire comme les autres.
Cvetic : Oui mais tu as aussi envie de faire carrière et dit toi que ne tombera pas forcément sur des gens aussi conciliants que moi.
Susan : OOOHHH, c’est ça. Parce que tu trouves que tu es conciliant.
Cvetic : C’est une de mes principales qualités. Mais j’en ai d’autres

Doug est dans la rue avec un bouquet de fleurs, il se dirige chez Carol. Tout en sifflant. Arrivé devant la porte il frappe.

Doug : Bonsoir, Helen. Je peux entrer. ?
Helen : Ca c’est hors de question. Soyez gentil partez.
Carol : Qui est-ce maman ?
Helen : T’inquiète pas il va partir.
Carol : Laisse maman.

Carol arrive devant la porte.

Doug : Bonsoir. Tu es très belle. (Il lui tend le bouquet) Tu vas bien ?
Carol : Ca va.
Doug : Je suis juste passer te dire bonjour. Voir si ça allait. Ca me fait plaisir de te voir. Au revoir.
Doug s’en va.

 

A l’hôpital. Benton est de garde mais il se repose. Lydia arrive.

Lydia : Dr Benton ?
Benton : Qu’est ce qui y’a
Lydia : Une ambulance arrive, on une rupture de l’intestin.

Le patient arrive.

Benton : Quel pouls ?
Ambulancier : Le pouls est à 140. Tension 6/4. On l’a rempli, il a reçu 1500 CC. Son abdomen est dur et extrêmement douloureux. Il prétend qu’il été ici aujourd’hui, il parle d’une thrombose
Benton : Bon, fait moi NFS, groupe rhésus et 6 unités. Pose une sonde gastrique. Appelle le bloc et dit qu’il se préparer pour une laparo exploratrice. On se dépêche. Allez on va faire ça comme si on connaisser ça comme la routine. C’est bon Camacho, je te tiens. Mettez le plus près encore. Mr Thunherts ne vous inquiétez pas tout se passera bien. Vous être prêt. Alors à trois on soulève. On y va. Et un, deux, trois, Soulevez. Allez dégager moi ce brancard. On pas que ça à faire. C’est parti. Maintenant je veux une sonde gastrique, un thorax, un abdomen, et que ça saute. Alors elle vient c’est perf.

GENERIQUE DE FIN.

 

 

 

 

 

 

 

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